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lundi 22 octobre 2012

Démocra Security.....entreprise que la couronne Britannique a privatisé afin de commercer sexuellement des femmes pôur ses militaires

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The Whistleblower, film à ne pas passer sous silence

On  les appelle les “Whisteblower”, mélange de “Blow”, souffler et “Whist”, sifflet. En français, ce sont les “lanceurs d’alerte”. Cette expression désigne des personnes qui décident de braver le système pour dénoncer aux instances officielles ou aux médias les éléments dérangeants de notre société. Ils le font pour le bien commun, à la différence des délateurs qui agissent essentiellement dans un but personnel. Kathryn Bolkovac, jouée par une éblouissante Rachel Weisz, est clairement de la première espèce.
Démocra est logé en Angleterre, et Internet semble ignorer cette entreprise privé de la Couronne Britannique ....... curieux n'est-ce pas ??????
Kathryn Bolkovac est une ancienne détective américaine de la police d'état du Nebraska. Elle a travaillé à l 'O.N.U, dans la Police Internationale, section Surveillance et Maintien de l'Ordre.

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À l'origine embauchée par la compagnie privée américaine DynCorp dans le cadre d'un contrat dépendant de l'O.N.U, elle leur intente un procès, en Grande-Bretagne, pour son licenciement abusif pour divulgation d'éléments confidentiels. Le 2 août 2002, le tribunal statuera en sa faveur[1].
DynCorp avait un contrat de 15 millions de dollars pour fournir des officiers de police et occuper des locaux bosniaques. Elle fait part dans ses rapports, de la consommation par plusieurs officiers de prostituées et leur participation avérée au trafic d'êtres humains[1]. Beaucoup durent démissionner, soupçonnés d’activités illégales, mais aucun ne fut poursuivi, étant couverts par l'immunité diplomatique[2].
L'histoire de Kathryn Bolkovac est à l'origine du film, The Whistleblower, sorti en 2011. Elle a aussi co-écrit avec Cari Lynn le livre The Whistleblower: Sex Trafficking, Military Contractors And One Woman's Fight For Justice sorti aussi en 2011.
Elle habite aux États-Unis, à Lincoln (Nebraska), et aux Pays-Bas, à Amsterdam[3].







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l’onu est complice de cette ignoble trafic d’être humain la véritable question par qui l’onu est dériger ? par des homme qui sont asoiffé de sexe et qui ont aucun respect des femmes a cette égard aucune saction a été prise contre les vrai coupable et cela en invoquand des prétexe falacieux,un fait est sur ce film doit avoir fait bander cette bande haut dérigant. Christian Fréchette.
Droits humains

l’ONU couvre un trafic d’êtres humains à Sarajevo

vendredi 23 décembre 2011, par Delphine Roux
Le film « The Wistleblower » raconte l’histoire de Kathryn Bolkovac qui a perdu son emploi en dénonçant des cas d’esclavage sexuel tolérés par les Nations Unies en Bosnie.
Kathryn Bolkovac, en mission onusienne pour le maintien de la paix en Bosnie-Herzégovine en 1999, dénonça courageusement, jusqu’à en perdre son travail et face à une passivité et une attitude méprisables de sa hiérarchie, un trafic d’êtres humains et de prostitution couvert par l’ONU. The Wistleblower, film américain à petit budget où figure l’actrice Rachel Weisz, projeté en avant-première à Genève le 10 décembre, date décrétée journée des Droits humains par les Nations Unies, narre son histoire et rend enfin justice au courage et à la ténacité extraordinaires de cette femme. La projection du film à Genève le 10 décembre, ainsi que le débat en présence des protagonistes, et notamment de Kathryn Bolkovac, fut l’occasion de rappeler les faits scandaleux qui, douze ans plus tard, choquent toujours autant, et surtout le traitement, honteux, par les Nations Unies, de celle qui tira la sonnette d’alarme.
En 1999, Kathryn Bolkovac, alors policière dans l’état du Nebraska, aux Etats-Unis, est engagée par la société de sécurité privée DynCorp qui fournit du personnel pour les troupes de maintien de la paix des Nations Unies. Elle accepte de rejoindre la mission onusienne en Bosnie-Herzégovine afin d’y assurer la sécurité et de protéger les civils. Peu après son arrivée, elle découvre avec horreur que Sarajevo est devenu une plaque tournante pour le marché de la prostitution et la traite d’êtres humains. Elle mène l’enquête, se retrouve face à des faits sordides d’esclavage sexuel, de passeports retenus contre dettes prétendument impayées et de viols. Elle comprend que la police, les autorités locales ainsi que la mafia y participent impunément et, pire, constate finalement que certains de ses collègues, notamment des Casques bleus, profitent sexuellement de ce trafic et prétendent qu’il ne s’agit pas de traite d’êtres humains. Avec l’aide précieuse de Madeleine Rees, alors représentante pour le Haut-Commissariat des droits de l’homme à Sarajevo, qui s’est révélée une alliée clé et fiable jusqu’au bout, elle tire la sonnette d’alarme et dénonce la situation intenable à sa hiérarchie. Au lieu de la réaction escomptée, sa hiérarchie ne semble pas très concernée. Kathryn Bolkovac comprend alors que les Nations Unies étaient parfaitement au courant de la situation mais préféraient, par peur des complications et du scandale qui s’ensuivrait, fermer les yeux. Elle met alors tout en œuvre pour démanteler le réseau, sauver les victimes et punir les coupables, mais se retrouve peu à peu isolée et ostracisée, subissant quotidiennement des menaces et des tentatives d’intimidation, toujours sans aucun soutien et sans aucune réaction de ses supérieurs, et finit par être virée sous le faux prétexte d’avoir illégalement modifié une de ses fiches horaire. En désespoir de cause, elle se tourne vers les médias. L’affaire éclate enfin au grand jour en 2001.

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Avis de la presse
(Exclusivement pour l'utilisation des médias. Document non officiel))
La Haye, 27 février 2012
JKE/CS/PA492e

Invitation à la célébration du Tribunal de la journée internationale de la femme



Journalistes sont cordialement invités à assister à la célébration de la journée internationale de la femme du Tribunal jeudi 8 mars 2012. Organisé par bureau du Tribunal du Point Focal pour les femmes en collaboration avec le syndicat du personnel sous la bannière « Femmes qui Inspire », l'événement favorisera la sensibilisation aux questions entourant la violence sexuelle contre les femmes.

Cette année, le conférencier invité sera Kathryn Bolkovac, auteur de "le dénonciateur : Sex Trafficking, entrepreneurs militaires et combat d'une femme pour la Justice" une source d'inspiration pour le film « The Whistleblower », qui dépeint sa lutte courageuse contre le sexe, la traite en Bosnie-Herzégovine. Les spectateurs auront l'occasion de prendre part à un débat libre suite à sa présentation.

Le sujet de l'événement de cette année est particulièrement approprié étant donné le travail de pionnier du Tribunal sur la poursuite et le jugement des crimes de violence sexuelle dans l'ex-Yougoslavie. Sa contribution au développement de la jurisprudence dans ce domaine comprend la reconnaissance du viol et l'esclavage sexuel comme des crimes contre l'humanité.

Prenant la parole au sujet de l'événement, Michelle Jarvis, Point Focal du Tribunal pour les femmes et le point de contact pour la prévention de l'Exploitation sexuelle et les abus sexuels, a déclaré « histoire de Kathryn Bolkovac renforce le lien dévastatrice entre les conflits armés, la violence sexuelle et la traite des êtres humains. Son courage à prendre la parole a façonné les nouvelles politiques des Nations Unies pour lutter contre les abus et l'exploitation sexuelle et pour augmenter notre engagement à zéro tolérance de ces crimes, nous inspire. Nous sommes heureux de vous présenter le personnel du TPIY et autres invités l'occasion d'entendre directement de Kathryn et à lui poser des questions au sujet de ses expériences de travail en Bosnie-Herzégovine."

L'Office de Point Focal du TPIY pour femmes est un mécanisme pour faire en sorte que les questions sont traitées efficacement devant le TPIY le sexe fait partie de la stratégie d'amélioration de la situation globale des femmes dans l'ensemble du système des Nations Unies

L'événement aura lieu dans le hall du Tribunal de16:00à18:00. Les journalistes souhaitant assister à devraient communiquer avec le Bureau des médias à press@icty.org par mardi 6 mars à 17:00.
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Kathryn Bolkovac est devenue la bête noire des organismes onusiens
Les Nations Unies reconnaissent donc les erreurs passées, mais pas toutes. Kathryn Bolkovac a poursuivi en justice pour licenciement abusif la société privée qui l’avait engagée. L’argent gagné lorsque le tribunal lui a donné raison a servi à éponger les dettes contractées lorsqu’elle a tout tenté pour exposer l’affaire et ne fut qu’une infime compensation par rapport aux préjudices subis. Le personnel onusien impliqué dans le trafic n’a jamais été puni, protégé par l’immunité diplomatique, et a, sans doute, été renvoyé pour d’autres missions dans d’autres pays, alors qu’il était parfois question de viol. Ses supérieurs hiérarchiques ont toujours nié les faits même lorsque l’affaire a été portée au grand jour et ont refusé de reconnaître leur implication dans le trafic d’êtres humains. Kathryn Bolkovac n’a jamais retrouvé, depuis son licenciement, un poste au sein des Nations Unies ou dans la police, étant devenue la bête noire des organismes onusiens. Aucune excuse publique, ni privée, d’ailleurs, ne lui a été faite. La sortie du film, et surtout la projection de ce dernier à l’ONU, ne débouchèrent sur aucun remerciement pour ses actions, son courage et sa détermination, des valeurs, ironiquement, mises en avant lors des missions de maintien de la paix. Son absence même à la table des intervenants du débat sur les abus sexuels, alors que la réalisatrice du film, Larysa Kondracki, était présente, en dit long sur l’attitude déplorable de l’ONU à son égard, même près de 12 ans plus tard. « Le courage de Kathryn a ruiné sa carrière professionnelle et sa vie personnelle. Elle a été mise dehors. Et elle le restera fut, très honnêtement, une des phrases que j’ai entendues à l’époque », a commenté Madeleine Rees lors du débat à Genève. « Si tout était à refaire, je le referais », a assuré Kathryn Bolkovac. « Je ne regrette pas d’avoir agi. Je regrette simplement que nous ayons échoué. Si vous tenez à tirer la sonnette d’alarme vous-même pour une raison quelconque, réfléchissez à deux fois aux conséquences, puis tirez. »



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La violence sexuelle faite aux femmes par les Casques

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Et Londres contuinue de faire kidnapper des humains


 Des femmes sont séquestrées, asservies, leurs passeports leur sont retirés, sous prétexte de dettes à régler. L’ampleur des ramifications met en cause les autorités régionales, la police, des réseaux maffieux. Mais aussi certains de ses collègues et supérieurs au sein des Casques bleus onusiens.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 






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La Couronne Britannique et ses experts militairters savent comment manipuler les masses










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  Et nos Universités continuent de former à exploiter, à 

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ne pas être accessible aux pauvres et à ceux qui vivent sous le Seuil de Pauvreté

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