Abécédaire de
Le plus gros site.7500 Sujets Inédits, SCOOPS, Solutions. Cliquez : les lettres/chiffres
-2-3-4 -2 -2-3-4 -2-3 -2-3-4 -2-3 -2-3 -2-3 -2-3 -2 -2-3-4 -2 -2-3 -2-3 -2-3 -2-3
Pour les visuels, cliquez ici ----> Humanité Reine
Déclaration Universelle des Droits de l'Homme: Article 19: "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.". ''La liberté saine qu'on accorde aux autres c'est aussi de la liberté qu'on s'accorde''
À LIRE ET RELIRE
Les techniques de potabilisation de l'eau
Dessalinisation, désalinisation, dessalement, traitement de l’eau saumâtre :
Mongrain - Haïti: chaos, misère, désolation
À Guantanamo (Cuba est l'Île voisine d'Haiti) il y a une vieille usine de désalinisation d'eau de mer, installée en 1964 et qui fonctionne toujours.
Dessalement d'eau
Le dessalement est un procédé permettant d'enlever le sel contenu dans les eaux de mer ou saumâtres. De l'eau de mer peut contenir jusqu'à quelques pourcents de sel, alors que l'eau potable ne peut en contenir plus de 10 ppm. La technique la plus utilisée afin de retirer le sel est l'osmose inverse, technique capable de retirer le sel en une seule étape.
OSMOSE
A : L’osmose est un phénomène naturel à travers une membrane semi-perméable : l’eau douce migre vers l’eau salée, la plus concentrée.
B : L’équilibre s’établit à la pression osmotique. Plus l’eau est chargée en sels et plus la pression osmotique est élevée.
OSMOSE INVERSE
C : Il est possible d’inverser l’opération en exerçant une pression sur l’eau salée et faire migrer les plus petites molécules d’eau, c’est l’osmose inverse.
Lors du dessalement en osmose inverse, le procédé est composé d’une préfiltration, d’une pompe mettant en pression la membrane OI, composée d’un film fin en polyamide composite enroulé.
Cette filtration permet de supprimer 99% des sels minéraux et organiques. Une eau de mer concentrée à 35.000 ppm peut ainsi ressortir selon l’effort de pression réalisé sur la membrane Ol, à moins de 200 ppm. Le seuil de potabilité des eaux distribuées en réseau est généralement admis à 500 ppm.
Il y a quatre différents types de modules d'osmose inverse, qui sont utilisés pour les procédés d'osmoses inverses, principalement des procédés de dessalination. Il y a les modules tubulaires, plans, spiralés, et fibres creuses.
Le traitement OI utilisé par ITT est en avance sur les techniques de distillation thermique plus anciennes par lesquelles l'eau de mer est chauffée sous haute pression et la vapeur d'eau douce est condensée, puis récupérée. Il n'est pas nécessaire de chauffer l'eau avec le système OI d'ITT, ce qui réduit ainsi le besoin énergétique. L'eau salée subit un processus de prétraitement de filtration chimique pour éliminer les grosses particules et elle est ensuite passée à travers des membranes par des pompes à haute pression qui éliminent plus de 99 pour cent des sels. Lorsqu'au cours des années 80, les premières grosses usines à osmose inverse furent construites, elles consommaient à peu près 8 kilowatts/heure en énergie pour chaque mètre cube d'eau douce produite. En générant la plus grosse partie de leur propre énergie, la génération suivante de turbines à récupération d'énergie, comme celles utilisées par ITT à Dubai, a réduit de 45% l'apport extérieur d'énergie.
– L’énergie solaire est séduisante car sans consommable, elle est cependant limitée aux petites installations de quelques kilowatts pour quelques heures d’utilisation en ensoleillement journalier.
– L’énergie éolienne permet une bonne production de puissance si les vents sont réguliers toute l’année, c’est souvent le cas en bord de mer.
Et ce n'est pas des vents qui manquent à Haïti, donc des éoliennes seraient appropriées comme producteurs d'énergies
===============
========
De l’eau salée comme carburant ?
John Kanzius a réalisé une découverte assez intéressante. Il essayait de desaliner de l’eau de mer lorsque son échantillon se mit à brûler. Il a alors réalisé que l'on pouvait créer de l'hydrogène à partir de l'eau salée en la soumettant à une intense émission d'ondes radiofréquences.
Pendant plusieurs jours l’eau salée brûlait comme une bougie, tant qu’elle était exposée aux radiofréquences.
La technique et les résultats n'ont pour l'instant fait l'objet d'aucune publication officielle et le monde Internet commence à s'agiter autour de la découverte.
Rustum Roy, un professeur et chimiste de la Penn State University (Université de Pennsylvanie) a reproduit l'expérience de Kanzius, confirmant les dires de ce dernier.
Le Professeur Roy annonça que l'eau salée ne brûlait pas vraiment, en dépit des apparences. En fait les radiofréquences affaiblissent les liens atomiques constituant l’eau salée : le chlorure de sodium, l’hydrogène et l’oxygène, relâchant ainsi l‘hydrogène qui, une fois enflammé, brûle continuellement tant qu‘il est exposé aux radiofréquences.
Une source indépendante a mesurée la température de la flamme qui dépassait les 3 000° Fahrenheit (1650° Celsius)...
Le Professeur Roy déclara que John Kanzius venait de réaliser une des plus «remarquable découvertes dans la science de l’eau depuis les 100 dernières années. Mais rechercher le potentiel de cette découverte prendra du temps et de l’argent.»
La question principale demeure la suivante : est-ce que l'énergie récoltée (hydrogène) est supérieure à l'énergie utilisée (génération d'ondes radios) ?
Le Professeur Roy a planifié une rencontre le 10 septembre avec le U.S. Department of Energy and Department of Defense officials à Washington afin de parler de la découverte et solliciter des fonds.
Si ce procédé ne révolutionne pas la Physique, cela pourrait devenir, par contre, une voie privilégiée pour la production d'hydrogène en toute sécurité.
Actuellement, on produit de l'hydrogène soit par la réaction de gaz naturel et de vapeur, ce qui émet des gaz à effet de serre, soit en envoyant un courant électrique dans l'eau (électrolyse). On produit ainsi l'hydrogène dans des usines et on l'envoie ensuite, avec un risque non négligeable, vers les clients.
D'après Kazius, on pourrait envisager d'utiliser ce procédé pour générer l'hydrogène directement dans un moteur au lieu de le stocker dangereusement dans un réservoir.
========================
===============
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire